1953-1963

Arrière plan de l'illustration
Troisième plan de l'illustration
Second plan de l'illustration
Premier plan de l'illustration

Introduction

Dans les années 1950, la modernisation des infrastructures d'aqueduc et d'égouts dans la Cité de Jacques-Cartier représente une avancée majeure pour la qualité de vie et le développement économique de la région.

Avec une population atteignant 18000 habitants, l'absence de système d'aqueduc contraint les résidents à creuser des puits à l'arrière de leur terrain pour s'approvisionner en eau.

Extrait de l'illustration du moment
En 1951, la municipalité adopte le Règlement no 45, marquant ainsi le début d'une transformation importante. Cette initiative vise à mettre la Cité de Jacques-Cartier aux normes sanitaires et de sécurité incendie, l'affranchissant ainsi de sa dépendance vis-à-vis de Longueuil pour les infrastructures d'approvisionnement en eau.
Parallèlement, l'arrivée des services d'aqueduc et d'égouts à Saint-Hubert dynamise le secteur immobilier, même sur des terrains inondables. Ce progrès infrastructurel stimule le développement économique de la région. En 1960, quatre ans après l'inauguration de l'usine de filtration de la Cité de Jacques-Cartier, le conseil municipal approuve l'agrandissement de l'usine, marquant une période de modernisation importante. 
L'initiative de modernisation des infrastructures d'aqueduc et d'égouts à la Cité de Jacques-Cartier représente un pas significatif vers l'amélioration de la qualité de vie des habitants et le soutien à la croissance économique de la région. En se dotant de ces infrastructures essentielles, la municipalité s'engage à garantir un approvisionnement en eau sûr et fiable, tout en renforçant son attractivité pour de nouveaux résidents et investisseurs. Cependant, ces progrès ne sont pas sans défis environnementaux.

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1960 à 1970